Rio de Janeiro |
Écrit par sophie et jeremy |
Dimanche, 03 Septembre 2017 |
Surprise en arrivant à Rio : il ne fait pas bien chaud… Il semblerait que nous ayons choisi la semaine la plus froide de l'année, ce qui va nous causer bien des problèmes dans les jours à venir car notre garde robe n'est pas adaptée !
A peine posés nos bagages à l'hostel où nous avalons un somptueux petit déjeuner, nous partons profiter des quelques rayons de soleil en longeant les célèbres plages de Copacabana et Ipanema, ce qui prend un certain temps car elles sont vraiment immenses! Comme on est très en forme après une nuit en avion, on enchaîne sur l'ascension du mont des 2 frères (530m) d'où la vue sur la ville est superbe, bien qu'un peu brumeuse. Notre premier aperçu de la gastronomie brésilienne est à la fois savoureux et anti-diététique, à base de beignet de viande frits bien gras et salés, et de flans caramélisés ultra-sucrés… et les portions sont gargantuesques ! Ceci explique peut être cela (il n'y a pas de mystère diraient certains) ! Les jours suivants, heureusement ensoleillés, sont occupés par la visite des attractions incontournables. Pour l'ascension du Pain de sucre (396m), puisque nous ne pouvons rien faire comme tout le monde nous choisirons nos pieds au lieu du téléphérique… très bonne idée qui nous mettra un peu en galère sur la portion difficile exigeant une corde que nous n'avons pas ! Après l'effort nous sommes récompensés par le coucher de soleil sur la ville (et on peut même acheter des tongs Havaianas là haut!). Le lendemain fini l'aventure, nous prenons le train à crémaillère comme tous les touristes pour nous rendre en haut du Corcovado, son Christ Rédepteur et son incroyable vue sur la plus belle baie du monde. Le dernier jour : session plage à Copacabana même s'il fait trop froid pour se baigner, suivie d'une petite promenade dans la favela où se situe notre géniale guesthouse, juste au-dessus de Copacabana. Elle est « pacifiée » par des adolescents armés de mitraillettes mais forts sympathiques, même s'il leur arrive de tirer dans le transformateur, privant le quartier d'électricité. Nous y ferons notre meilleur repas accompagné d'une bière artisanale, face au Corcovado. |
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